News

Recent Facebook posts 

“A lot of patients don’t know they have the possibility of accessing clinical trials -- that they can support the development of promising therapies and that they can accessing new treatments earlier. When you see patients who are struggling to maintain their quality of life, you really realize how much this matters. I hope that I have helped patients feel important and cared for, and that their time at the CRU has been a good experience for them,” says Eric Han, a clinical research coordinator in the MS team at the CRU. Eric holds a BSc in exercise science from Concordia University. He previously worked as a research assistant in immunology, and continues to work in a care facility with children with special needs. **« De nombreux patients ne savent pas qu’ils accès aux essais cliniques, qu’ils peuvent soutenir le développement de thérapies prometteuses et qu’ils peuvent accéder plus tôt à de nouveaux traitements potentiels. Lorsque vous voyez des patients qui ont du mal à maintenir leur qualité de vie, vous réalisez vraiment à quel point cela est important. J'espère que j'ai aidé les patients à se sentir importants et pris en charge, et que leur séjour à l’URC a été une bonne expérience pour eux », déclare Eric Han, coordinateur de la recherche clinique au sein de l'équipe de la Sclérose en plaques à l’URC. Eric est titulaire d'un baccalauréat en sciences de l'exercice de l'Université Concordia. Il travaillait auparavant comme assistant de recherche en immunologie et continue de travailler dans un établissement de soins auprès d'enfants ayant des besoins spéciaux.#slcéroseenplaques #multiplesclerosis #MS #SP #essaiscliniques #clinicaltrials #CRC #CRU #mcgill #FMHS #theneuro@theneuro_mni@mcgillmedhealthsci ... See MoreSee Less
View on Facebook
Le 17 juin est la journée de Sensibilisation au glioblastome, un moment pour reconnaître l’impact de la tumeur cérébrale la plus commune et la plus agressive et de souligner l’urgence de faire progresser la recherche pour des traitements efficaces.Selon la Fondation des tumeurs cérébrales, le Canada a l'un des taux d'incidence les plus élevés au monde. En raison de la complexité de ces tumeurs, les progrès dans le développement de traitements ont été lents.C’est pourquoi l’URC du Neuro continue de rajouter de nouveaux essais cliniques de pointe qui testent des traitements potentiels. La recherche et l'innovation sont plus importants que jamais.Pour connaître les essais en cours, visitez cru.mcgill.ca/fr/tc ou contactez (514) 398-6907.**July 17 is Glioblastoma Awareness Day: a moment to recognize the impact of the most common and aggressive type of brain tumour, and to highlight the need to accelerate research into effective treatments.According to the Brain Tumour Foundation, Canada has one of the highest rates of brain tumour incidence in the world. Due to the complexity of these tumours, progress in developing treatments has been slow.That’s why the CRU at The Neuro continues to add clinical trials testing promising potential therapies to its roster. Research and innovation are needed more than ever.To learn about ongoing brain tumour trials, visit cru.mcgill.ca/bt or call (514) 398-6907. @theneuro_mni@ ... See MoreSee Less
View on Facebook
“The biggest surprise for me in working with ALS patients has been the amount of close relationships that I have formed with the patients I see regularly, and who are facing a difficult prognosis with such grace. I knew I would have a lot of patient contact, but I didn’t expect how close I would become to them. I don’t think that people realize what a huge role clinical trial participants play in developing new therapies. They make it possible for us to have access to newer, more effective treatments,” says Dipannita Purkayastha, a clinical research coordinator in the ALS team at the CRU. Dipannita holds a BSc in kinesiology and an MSc in immunology from Concordia University. She previously worked as a lead scientist at a contract research organization. **« La plus grande surprise pour moi en travaillant avec des patients atteints de la SLA a été le nombre de relations étroites que j'ai nouées avec ces personnes que je vois régulièrement et qui font face avec tant de grâce à un pronostic difficile. Je savais que j’aurais beaucoup de contacts avec des patients, mais je ne m’attendais pas à me rapprocher d’eux. Je ne pense pas que les gens réalisent le rôle énorme que jouent les participants aux essais cliniques dans le développement de nouvelles thérapies. Ils nous permettent d'avoir accès à des traitements de pointe plus efficaces », explique Dipannita Purkayastha, coordonnatrice de la recherche clinique au sein de l'équipe SLA du CRU. Dipannita est titulaire d'un baccalauréat en kinésiologie et d'une maîtrise en immunologie de l'Université Concordia. Elle a auparavant travaillé comme scientifique principale dans un organisme de recherche sous contrat.#clinicalresearchcoordinator #clinicaltrials #rechercheclinique #ALS #SLA @TheNeuroMNI@McgillMedHealthSci ... See MoreSee Less
View on Facebook
Trouver un moyen de réparer les dommages causés par la SLA au niveau de la jonction neuromusculaire, qui relie les cellules nerveuses et musculaires, constituerait une étape majeure dans le traitement de la SLA. À l’occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à la MND/ALS, nous nous concentrons sur une étude innovante en cours à l'URC qui étudie précisément cela. Les recherches de Richard Robitaille, professeur et chercheur à l'Université de Montréal, ont démontré dans des modèles précliniques que la darifénacine, un traitement approuvé pour l'hyperactivité vésicale pourrait bloquer les cellules hyperactives qui causent la rupture de la connexion nerf-muscle dans la SLA. Dans des modèles murins, le traitement améliorant ainsi la mobilité et la force. Les chercheurs doivent maintenant voir comment cet effet se traduit chez les humains, mais sur papier l'approche est prometteuse.Lisez les commentaires des chercheurs: reporter.mcgill.ca/trouver-linterrupteur-principal-pour-la-sla. Pour tous les essais sur la SLA à l'URC, visitez cru.mcgill.ca/fr/sla-2 ou appelez le 514-398-5500.**Finding a way to repair the damage caused by ALS in the neuromuscular junction -- which connects nerve and muscle cells -- would be a major step in treating ALS. On MND/ALS Global Awareness Day, we focus on an innovative study underway at the CRU studying just that. Research by Richard Robitaille, a professor and researcher at Université de Montréal has shown in preclinical models that an approved treatment for overactive bladder could also block the overactive cells that cause the nerve-muscle connection to breakdown in ALS, improving mobility and strength. Researchers still need to see whether this effect will translate when studied in humans, but on paper it is a promising approach. Read what the researchers had to say: reporter.mcgill.ca/finding-the-master-switch-for-als/.For all ALS trials at the CRU, visit cru.mcgill.ca/als or call 514-398-5500. ... See MoreSee Less
View on Facebook
The European Network to Cure ALS held its annual meeting in Stockholm, Sweden this week and members from the CRU’s ALS team were out in force at this important research conference, including (from left to right) ALS Disease Lead Vanessa Bertone, CAPTURE ALS coordinator HyungMo Kang and Investigator-Initiated Trials coordinator Nisha Pulimood. Nisha presented a poster on the preclinical results of darifenacin on ALS; this drug approved for overactive bladder may be able to support the repair of the neuromuscular junction in ALS and is currently being studied in a trial at the CRU. HyungMo presented a poster on the advances from CAPTURE ALS, a Canada-wide biomarker study to better understand the very varied ways that ALS develops and progresses to help researchers target treatments more accurately. **Le Réseau européen pour guérir la SLA (ENCALS) a tenu cette semaine sa réunion annuelle à Stockholm, en Suède, et les membres de l’équipe de la SLA à l’URC étaient sur place pour cette importante conférence de recherche incluant (de gauche à droite) Vanessa Bertone, responsable de l’équipe de la SLA, HyungMo Kang, coordinateur pour CAPTURE SLA, et Nisha Pulimood, coordinatrice des essais initiés par les chercheurs. Nisha a présenté une affiche scientifique sur les résultats précliniques de l’efficacité de la darifénacine sur la SLA ; ce médicament approuvé pour l'hyperactivité vésicale pourrait contribuer à la réparation de la jonction neuromusculaire dans la SLA et est actuellement étudié dans le cadre d'un essai à l’URC. Pour sa part, HyungMo a présenté une affiche sur les avancées de CAPTURE SLA, une étude pancanadienne sur les biomarqueurs visant à mieux comprendre les façons très variées dont la SLA se développe et progresse afin d'aider les chercheurs à cibler les traitements avec plus de précision.#ALS #SLA #ENCALS #amyotrophic lateral sclerosis #cureals #cru #neuro #mcgill@theneuro_mni ... See MoreSee Less
View on Facebook
Juin est le mois de la sensibilisation à la myasthénie grave (MG), une maladie auto-immune débilitante qui touche plus de 10 000 canadiens et canadiennes. La MG se caractérise par une faiblesse anormale des muscles volontaires, entraînant une perte de fonction musculaire et une fatigue rapide. Les individus peuvent expérimenter des paupières tombantes, des difficultés à contrôler leurs expressions faciales, à mâcher, avaler et parler ainsi qu’une faiblesse au niveau des bras, des jambes ou du cou. La maladie est plus fréquente chez les femmes entre 20 et 40 ans et chez les hommes de plus de 50 ans.Certaines personnes atteintes de MG ne répondent pas bien aux traitements disponibles, qui impliquent la suppression à long terme du système immunitaire. L’URC se penche sur de nouvelles options de traitement potentielles qui pourraient être plus précises.Pour les études en cours, visitez cru.mcgill.ca/nm ou envoyez un courriel à nm.neurocru@mcgill.ca.**June is the awareness month for Myasthenia Gravis (MG), a debilitating autoimmune disease which affects over 10,000 Canadians.MG is characterized by abnormal weakness of voluntary muscles that leads to a loss of muscle function and rapid fatigue. Individuals may experience drooping eyelids, difficulty controlling facial expressions, chewing, speaking and swallowing, and weakness in arms, legs or neck. It is most common in women between 20 and 40 and in men over 50.Some individuals with MG do not respond well to available treatments, which involve the long-term suppression of the immune system. The CRU has been focussed on finding more precise treatment options. For more information on ongoing studies or visit cru.mcgill.ca/nm, or email nm.neurocru@mcgill.ca.#myastheniagravis #myastheniegrave #snowflakedisease #neuromuscular #clinicalresearch #clinicaltrials #essaiscliniques #mcgill #neuroscienceCanadian Organization for Rare DisordersThe NeuroMcGill Research and Innovation ... See MoreSee Less
View on Facebook
Un défi de taille auquel se butte les chercheurs pour développer de meilleurs traitements contre la Sclérose en plaques (SP) est de s’assurer que le médicament traverse la barrière hémato-encéphalique -- une membrane qui filtre les grosses molécules. Certains des traitements les plus efficaces contre la SP consistent d’anticorps qui sont justement trop gros pour traverser cette barrière, ce qui limite considérablement leur efficacité.Des chercheurs pensent avoir trouvé un moyen d’engager les récepteurs de la barrière hémato-encéphalique et de permettre à certaines grosses molécules de la traverser, créant ainsi une sorte de « navette cérébrale ». Un nouvel essai mené à l’URC espère montrer que cette technique permettrai au traitement d'atteindre les cellules immunitaires du cerveau lui-même et de traiter l’inflammation sous-jacente qui peut couver entre les rechutes de SP, lorsque les symptômes deviennent apparents. Lisez les commentaires du chercheur principal : reporter.mcgill.ca/traverser-la-barriere-hemato-encephalique-pour-traiter-la-sp.Pour les essais sur la SEP au CRU : cru.mcgill.ca/fr/sp.**An ongoing challenge to develop better Multiple Sclerosis (MS) treatments is getting medication to cross the blood-brain barrier -- a membrane that screens out large molecules. Some of the most effective treatments for MS are monoclonal antibodies, which are too big to cross the blood brain barrier, which greatly limits their effectiveness.Researchers may have found a way to engage receptors on the blood-brain barrier to allow certain large molecules to cross – creating a type of ‘brain shuttle’. A new trial at the CRU hopes to show that this technique could allow treatments to reach immune cells in the brain itself and address the underlying inflammation that may smolder between MS relapses, when symptoms become apparent. Read what the principal investigator had to say: reporter.mcgill.ca/crossing-the-blood-brain-barrier-to-treat-ms. For MS trials at the CRU: cru.mcgill.ca/ms. #MS #multiplesclerosis #SP #scléroseenplaques #bloodbrainbarrier #brainshuttle #clinicaltrials #essaiscliniques The Neuro McGill Faculty of Medicine and Health SciencesSP Canada - Montréal SP Canada Centre du QuébecSP Canada - LavalSP Canada - LanaudièreSP Canada - MontérégieSociété canadienne de la sclérose en plaques - Section OutaouaisSociété canadienne de la sclérose en plaques - EstrieSociété Canadienne de la Sclérose en Plaques ... See MoreSee Less
View on Facebook
CRU co-director Ziv Gan-Or and his team at the Neurogenomics and Precision Medicine Lab at The Neuro are working to accelerate the development of new treatments for Parkinson’s Disease. They used machine learning to help find promising new targets that could be tested in clinical trials faster. After analyzing large amounts of genetic data from brain tissues, the computer algorithm they used pointed to new genetic mutations that might play a role in Parkinson. It also singled out the inositol pathway as a promising target. Inositol is a type of sugar in our body that affects neurotransmitter levels -- chemicals that help transmit messages between nerves. The team recently published their findings in the leading journal Brain. More research is needed to understand how these genes and pathways are connected to Parkinson’s, but zeroing in on targets for new treatments helps researchers move in the right direction sooner. Article summary: academic.oup.com/brain/article/147/3/887/7296059 For Parkinson trials at the CRU: cru.mcgill.ca/mvtdisorders/ **Ziv Gan-Or, codirecteur de l’URC, et son équipe du Laboratoire de neurogénomique et de médecine de précision du Neuro travaillent à accélérer le développement de nouveaux traitements pour la maladie de Parkinson. Ils ont utilisé l’apprentissage automatique pour aider à trouver de nouvelles cibles prometteuses qui pourraient être testées plus rapidement dans le cadre d’essais cliniques. Après avoir analysé de grandes quantités de données génétiques provenant de tissus cérébraux, l’algorithme informatique utilisé a mis en évidence de nouvelles mutations génétiques susceptibles de jouer un rôle dans la maladie de Parkinson. Elle a également identifié l'inositol comme une cible prometteuse. L'inositol est un type de sucre présent dans notre corps qui affecte les niveaux de neurotransmetteurs, des éléments chimiques qui aident à transmettre des messages entre les nerfs. L'équipe a récemment publié ses résultats dans la revue de pointe Brain. Des recherches supplémentaires seront nécessaires pour comprendre comment ces gènes et ces éléments sont liés à la maladie de Parkinson, mais proposer des cibles prometteuses pour de nouveaux traitements permet aux chercheurs d’avancer plus rapidement dans la bonne direction.Résumé de l’article (en anglais): academic.oup.com/brain/article/147/3/887/7296059 Pour les essais sur la maladie de Parkinson à l’URC : cru.mcgill.ca/fr/troublesmouvement/#neurogenomics #machinelearning #ganorlab #parkinsons #parkinsonsdisease #maladiedeparkinson The NeuroParkinson QuébecParkinson CanadaMcGill Faculty of Medicine and Health Sciences ... See MoreSee Less
View on Facebook